La Diététique et Beljanski

Lauréate de la Faculté libre de médecines naturelles et d’ethnomédecine, diplômée en nutrition et nutrithérapie, Dany Toussaint a vu son mémoire universitaire publié et distribué par le CIRIS, ou Centre d’innovations, de recherches et d’informations scientifiques.

Dany Toussaint, diplômée en nutrithérapie, aborde la diététique, intégrant l’étude de l’alimentation moderne au sens large, ainsi que notre hygiène de vie. Nous sommes loin du sens actuel donné à diète qui, trop souvent, évoque des régimes contraignants basés sur des calories… La plupart du temps assimilés à frustration et privation. Conserver ou rétablir sa santé nécessite une même approche. Nos maladies de civilisation (cancer, accidents cardiovasculaires, sclérose en plaques, maladie de Parkinson, Alzheimer, obésité, etc.) seraient dues à des causes multifactorielles communes dont, en grande partie, les pollutions environnementales. Nous devons identifier ces risques dans notre environnement proche : pollutions chimiques, électromagnétiques, irradiations, carences, addictions alimentaires, stress… – la plupart cachés, constants, cumulatifs et croisés. Des solutions existent, allant toutes dans le sens du mieux-vivre, accessibles à tous et applicables rapidement grâce à des exemples concrets : hygiène, mode de vie, alimentation, maîtrise de la pollution électromagnétique…

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Monique Beljanski est née à Paris dans une famille composée de nombreux scientifiques. Son père, le professeur et physicien Auguste René Lucas, fut directeur de l’École supérieure de physique et de chimie industrielles de la ville de Paris de 1947 à 1968, professeur titulaire de chaire de physique générale à la faculté des sciences de l’université de Paris de 1956 à 1968 et membre de l’Académie des sciences. Sa grand-mère, Pauline Ramart, fut la seconde femme après Marie Curie à être nommée professeur de chimie organique à la Sorbonne.

À 19 ans, elle rencontre Mirko Beljanski, alors jeune chercheur en biologie. Monique et Mirko tombent rapidement amoureux et se marient au cours d’une cérémonie traditionnelle en Yougoslavie. De leur union naîtront deux enfants, Boris et Sylvie Beljanski.

En 1953, Monique rejoint son mari à l’Institut Pasteur en qualité d’ingénieur d’études au CNRS où le jeune couple se lance dans un travail de recherche sous la direction du Professeur Macheboeuf, directeur de Thèse de Mirko.

A cette équipe se joignent Liliane Le Goff et Michel Plawecki, tous deux docteurs d’Etat ès sciences. Par la suite, l’équipe s’installe dans les locaux de la Faculté de Médecine de Chatenay-Malabry, où Mirko Beljanski, Directeur de recherches au CNRS, dirigera les travaux de ce groupe durant une dizaine d’années.

Monique Beljanski participe étroitement à toutes les étapes des travaux de son mari y compris ses nombreuses publications scientifiques, livres et articles dont elle est co-auteur.

Depuis la disparition de son mari en 1998, elle poursuit inlassablement un travail de sensibilisation à travers des conférences en Europe afin de mieux faire connaître l’approche Beljanski, en particulier la sélectivité d’action et l’absence de toxicité des extraits de plantes découverts par Mirko Beljanski.

Monique Beljanski est membre du Conseil d’Administration de l’Association CIRIS et Présidente de la Fondation Beljanski.

Une nouvelle hygiène de vie, pourquoi et laquelle ?

Parce que nous sommes tous touchés par la maladie, de près ou de loin, et que trop souvent nous ne savons même pas pourquoi !
Pourtant, il s'est dégagé un consensus entre les meilleurs scientifiques pour admettre que les grands fléaux qui nous touchent : diabète, obésité, AVC, infarctus, Alzheimer, Parkinson, cancer... ont tous au départ des causes communes : notre environnement pollué, dénaturé, auquel s'ajoutent les risques de techniques et technologies nouvelles employées sans réel contrôle et avec des normes inadaptées.

Nous devons redevenir maîtres de notre destin, arrêtons de le confier à d'autres, ils en ont abusé ! Il est trop tard, nous sommes dans l'urgence et c'est devenu une question de survie.

Martin Luther King a prononcé une parole universelle : " Ce qui m'effraie, ce n'est pas l'oppression des méchants, c'est l'indifférence des bons ! ".

Ne soyons plus ces "bons indifférents" : il paraît surréaliste que nous, nos enfants, nos parents, nos amis, soyons touchés par ces terribles maladies, et malgré cela nous ne changerions rien dans notre vie ?

Nous ne pouvons plus dire maintenant : "On ne savait pas !" La vraie prévention doit passer par nous, personne ne le fera à notre place.

Dany Toussaint, nutrithérapeute, propose un ouvrage riche en enseignements mêlant diététique, hygiène de vie, détoxification et médecines douces.